mardi 21 juin 2016

Pour le conseil du 20 juin 2016, nous commençons par l'après-conseil

Le dernier sujet abordé en conseil a provoqué le courroux de M Compère....

La séance est levée et notre enregistrement est arrêté.
Erwan AUTRET se dirige vers le casier situé dans l'entrée de la mairie pour récupérer la convention EDIPUBLIC. Il est rejoint par Monsieur CLERT qui souhaite échanger quelques mots avec lui. Faisant les cent pas dans le secrétariat, M. COMPERE se dirige vers Erwan AUTRET et lui assène une première insulte :
- "Vous êtes un salaud !"
 Erwan AUTRET revient dans la salle du conseil pour échanger avec Monsieur le maire. Toujours aussi agité, M. COMPERE revient et continue avec cette seconde phrase :
- "En tant qu'enseignant, on ne devrait pas vous confier des enfants."
 Aucun membre de la majorité alors présent n'a réagi.
Les yeux brillants, un visage qui fait peur, M. COMPERE poursuit avec ce propos ignoble :
-"Sous l'occupation, si j'étais juif, je ne voudrais pas avoir à faire à vous."

Tous ces propos ont été tenus par le second adjoint de la commune. Aucun des membres de la majorité n'a réagi pour faire arrêter M. COMPERE.

4 commentaires:

Anonyme a dit…

Mesdames et messieurs les elus j ai juste honte pour vous tous si vous cautionnez, comme cela semble être le cas, depuis des mois,ce genre de propos ... c est grave !

Anonyme a dit…

Encore une agression supplémentaire de M.COMPERE et comme d'habitude le maire laisse faire. On peut s'interroger sur la vue et l’audition des élus de la majorité.

Anonyme a dit…

Mais quand va s’arrêter M.COMPERE ! son tableau de chasse n’est pas encore assez important : Apres la secrétaire générale, des ados , des élus, des habitants de Mougon, que veut-il de plus ? Faire taire les voix discordantes par la force. On connaissait M. BOINIER sous ses mandats précèdents, mais là on reste sans voix accepter de tel comportement, nier l’évidence relève de l’inconscience.

Anonyme a dit…

C'est inacceptable ! Ces propos dépassent les bornes ! Élus de Mougon par votre silence vous cautionnez ces ignominies.
Honte à vous.

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