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Point
sur l’action et les décisions communautaires :
Le site de la CCCB (non-actualisé depuis octobre 2014 pour cause de
renouvellement de personnels et formations) est maintenant actualisé.
Concernant la réforme
territoriale, M le maire nous informe que le président et 2 vice-présidents ont
visité les différentes communautés limitrophes pour échanger : A suivre…
Concernant le projet de
construction de la nouvelle structure multi-accueil sur Mougon, la CCCB est en
attente de la délibération de Mougon autorisant le lancement de l’étude de
faisabilité par un cabinet d’architecte. La délibération n’a pas été envoyée,
le maire en est surpris.
M Le maire nous informe que
concernant le CLSH, le comité de pilotage a étudié le cahier des charges de
l’étude complémentaire. M le maire y était et déclare que la maire de Ste
Blandine a fait une autre proposition plus rapide et moins chère que de lancer
cette étude. M le maire l’a encouragé à présenter cette proposition à la CCCB.
L’association Belle et Lambon a
proposé la mise en place d’une tarification selon le quotient familial (QF). La
CCCB et Mme Cousin (vice-présidente à l’action sociale) semblent réticents .
M le maire a fait la proposition
que les membres de l’association viennent présenter ce projet lors d’une
prochaine réunion de la CCCB.
M Autret : On ne va pas
attendre que le cabinet retenu pour l’étude complémentaire donne un avis sur
cette tarification au quotient familial. Le projet est prêt, la précédente
étude enfance-jeunesse disait qu’il fallait passer au QF, la CAF pousse dans ce
sens aussi. Il n’y a que la CCCB qui ne semble pas d’accord.
M Compère : Qui a dit que la
CCCB n’était pas d’accord ?
M Autret : L’association
Belle et Lambon a proposé le projet. Mme Cousin et M Germain ont demandé à la
présidente de demander une étude à la CAF. Elle a communiqué avec la CAF qui a
répondu que le projet devait être mis en place le plus rapidement possible.
M le maire : Ce n’est pas ce
qu’a dit la CCCB. Si l’association met le QF en place pour l’été, cela coûtera
4 500€. La CCCB a dit que peut-être, elle ne financera pas ce surplus.
M le maire a dit à la présidente,
que l’association a externalisé les payes (depuis
début 2015, une entreprise extérieure réalise les feuilles de paye),
qu’il faut revenir sur cette décision (sous-entendu
les bénévoles doivent à nouveau réaliser cette tâche) pour faire des
économies !!!
M Autret : La précédente
présidente, Mme Pintault, faisait ce travail car c’est son métier et elle y
passait ses dimanches après-midi. C’est plus facile à dire qu’à faire.
M Compère : Personnellement,
je suis intervenu au cours de la 1ère assemblée générale du CLSH où
la question du renouvellement de l’ensemble du bureau de l’association a été
posée. J’ai insisté auprès des personnes qui étaient présentes, j’ai repris la
parole pour inciter à titre de continuité de l’association.
M Autret : C’est
merveilleux, M Compère, c’est vous qui avez sauvé l’association!!
M Compère : Si je n’étais
pas intervenu à ce moment là, il n’y aurait pas eu de nouvelle assemblée
générale car la communauté, aussi bien Sylvie Cousin que Patrice Germain ont
déclaré que de toute façon s’il n’y a personne qui reprend, la CCCB sera là
pour reprendre.
Ca a été textuellement dit, tous
ceux qui étaient présents, on entendu et vous y étiez.
M Autret : C’est
caricatural, ce que vous dites.
M Compère : (De plus en plus véhément) Non, c’est la
vérité !
M Autret : La seule vérité,
c’est qu’il y a 2 personnes qui se sont mobilisées pour sauver l’association et
que l’on peut remercier et leur tirer notre chapeau. C’est Nathalie Gilbert et
Corinne Lafond, ce n’est pas vous. Voilà qui sont les personnes qui sont à
l’origine de la sauvegarde de l’association Belle et Lambon.
Mme Lahmiti : Où en est le
projet d’installation de modulaires pour le CLSH qui semble prévu à Celles sur
Belle ? Il y a un risque de voir le CLSH s’installer à Celles.
M Compère : Je vous rappelle
qu’il y avait des propositions d’Algeco qui avaient été faites sur Mougon et
que le projet n’a jamais abouti .
M Autret : Cette proposition
de la CCCB était d’installer des modulaires sur le parking de l’école primaire.
Ce n’était pas envisageable pour des raisons de sécurité. Venez à la sortie de
l’école pour vous en rendre compte.
Nous avions proposé d’autres
lieux (stade d’entrainement ou derrière l’école maternelle) qui n’ont pas été
acceptés car il fallait un terrain déjà « prêt à l’emploi ».
M le maire : C’est du passé.
M Autret : En effet, mais
j’aimerais que l’on arrête de ressasser toujours les mêmes choses en omettant
d’apporter toutes les informations.
M le maire : Nous avons dit
à la présidente de l’association, car à la CCCB personne n’en parle, que s’il y
avait une proposition d’installation d’Algeco, on avait un terrain disponible
de 1200 à 1700m² environ entre la maison nouvellement achetée route de Triou et
la maternelle.
M Barbareau : quelle est la
distance par rapport à la ferme ?
M le maire : Je n’ai pas
calculé, mais il me semble que c’est à plus de 50m.
M Autret : Je ne pense pas,
car dans la grange, juste derrière, il y a des veaux.
M le maire : Ah bon …
Mme Thibault : Et sur le
terrain prévu pour la structure multi-accueil, derrière la maternelle ?
M le maire : Il faut espérer
que la SMA, ça va commencer rapidement.
M Barbareau : M Germain et
la CCCB avaient refusé d’installer des modulaires sur cet emplacement.
Mme Thibault : M Germain
n’est que secrétaire général, ce n’est pas lui qui décide.
De la même façon, il faudra se
positionner : la CCCB a la compétence enfance – jeunesse, ce n’est pas à
nous de gérer le personnel et d’avoir à charge la compétence. Qu’ils prennent
tout. Que l’on mette les locaux à disposition, d’accord, mais pour le reste.
Dernières questions :
M Barbareau : On peut
imaginer qu’avec le nouveau matériel informatique et l’imprimante, on revienne
à une impression de la vie municipale en interne et que l’on ne demande pas à
une entreprise de réaliser l’impression.
M Compère : qu’est-ce qui
vous gène ?
M Barbareau : Le coût.
M Compère : Le coût ?
ça a déjà été abordé en commission.
M Barbareau : Je vous ai
répondu en commission et au moment du budget.
M Compère : Il faudrait que
vous appreniez à écouter.
J’ai fait une étude sommaire,
certes, à l’époque c’est Mme Sicart qui l’avait faite. Elle est arrivée à la
conclusion que si on prenait le coût d’impression, plus le coût des salariés
qui sont mobilisés pour le tirage, on arrivait pratiquement au coût d’un 4
pages en imprimerie, avec une qualité qui est quand même moindre ici qu’en
imprimerie.
M Barbareau : C’est faux
pour plusieurs raisons…
M Compère : C’est faux, à ce
moment là, Mme Sicart m’a menti.
M
Compère considère souvent voire toujours détenir la vérité et il est tout aussi
facilement enclin à considérer les autres comme des menteurs. Rappelons-nous que
M Compère a nié avoir insulté M Barbareau. Il a fini par s'excuser lors du
conseil municipal du 28 janvier à huis clos. On peut donc se demander qui est le
menteur !!!!
De
plus, traiter une employée de menteuse montre bien la considération de M Compère
pour les agents de la commune. Cette parole est d'autant plus déplacée qu'elle
s'adresse à la secrétaire générale en accident de service suite à une rencontre
avec lui.
M Barbareau : C’est faux
pour la simple et bonne raison que cette imprimante a servi à imprimer des
photographies qui nous ont été adressées par un photographe professionnel dont
la qualité était remarquable à ses dires.
Donc si on arrive à imprimer des
photos avec une qualité remarquable, je ne vois pas pourquoi on ne pourrait pas
obtenir une qualité d’impression de la vie municipale tout aussi remarquable.
2ème point : dans
votre calcul de coût, vous faites intervenir le coût des salariés, vous ne vous
êtes jamais remis en question, en vous disant que votre tâche était d’imprimer
ces documents. Vos indemnités vous servent à quoi, M Compère, à être présent
pour réaliser ce type de travail, oui ou non ?
M Compère : Je vous signale
que la rédaction, les photos et la mise en page, c’est moi qui le fait.
Mme Lahmiti : Combien a
couté le dernier tirage en imprimerie de la vie municipale ?
M Compère : Entre 300 et
400€, de mémoire.
M Barbareau : On peut
diviser ce coût en réalisant le tirage en interne et éviter ainsi les
gaspillages.
M Compère : Vous pourrez
venir vérifier la facture en mairie.
Mme Lahmiti : Je viendrai.
M le maire : En parlant de
cela, on vient de se rendre compte sur le compte administratif (CA) que depuis
avril 2014, on ne payait plus de facture gaz de France.
Mme Le Bars : Vous ne l’avez
pas vu en suivant les comptes ?
M le maire : On vient de
s’en apercevoir, justement en suivant les comptes.
M Compère : Vous les avez
demandés les comptes administratifs 2014, vous ne l’avez pas vu, vous.
Mme Lahmiti : Non, car le CA
que j’ai reçu, n’est pas assez détaillé pour se rendre compte de ce genre de
chose. La prochaine fois, on demandera le CA détaillé !!!
Dernière question :
M Barbareau : Il y a des
personnes qui croisent Mme Joulain, elle leur dit qu’elle est démissionnaire.
Qu’en est-il ?
M le maire : Elle est
démissionnaire, oui. Et il y en a d’autres, mais pour le moment il n’y a pas de
démission de déposée.
M Autret : Ce n’est pas ce
qu’elle dit à ses proches. Elle dit qu’elle a démissionné.
M le maire : Voilà, merci.
M Autret : Donc, on n’a pas
de réponse.
M le maire : Vous le saurez
la prochaine fois. Tout comme en principe, M Duchemin viendra puisqu’il a
accepté. Mais en semaine pour lui c’est compliqué. Il va falloir voir pour
mettre des conseils municipaux soit le lundi soit le vendredi.
Mme Thibault : De toute
façon, il faut tourner, pas toujours le même jour.
M le maire : De toute façon,
il faut aussi accepter qu’il y ait des personnes absentes.
Fin du conseil
municipal.