dimanche 28 juin 2015 3 commentaires

Les vacances arrivent....

Les cahiers de vacances arrivent aussi...
C'est une valeur ajoutée
Que si votre enfant adhère à cette idée

Mais ce peut aussi être un moment de partage
autour de leur vie à l'école
 
Pendant que votre enfant s'amuse à travailler
A côté de lui, vous pouvez vous amuser à lire
le compte rendu des conseils d'école de l'année scolaire

Pour cela une nouvelle page
"En direct de l'école" cliquer sur ce lien

Vous pouvez accéder à cette page
en cliquant sur la bonne rubrique
à droite de votre écran
 

samedi 27 juin 2015 5 commentaires

Quorum... le mot de la semaine !!


Oui, c'est vrai on hésite parfois dans l'écriture entre « chorum » et « quorum »... et c'est souvent plutôt la première orthographe qui nous vient à l'esprit car même si ce premier mot n'existe pas il nous renvoie par association d'idées au chorus, au chœur... C'est une erreur orthographique presque légitime dirons-nous car, quand la démocratie trouve son essor et ses bases en Grèce au Veme siècle avant J.C, cette nouvelle manière de penser le pouvoir ( qui peut à ce jour paraitre archaïque dans certaines contrées du nord de la méditerranée...) trouve son écho politique dans l'art théâtral, notamment tragique, qui place ainsi au centre de ses préoccupations des questionnements sur cet exercice de l'état.



Ainsi, le chœur (notre « chorum-quorum ») , est constitué d'un groupe de citoyens (entre 10 et 15)   qui joue le rôle de médiateur entre le spectateur et les protagonistes qu'il interroge ou dont il commente les actions. Le chœur  incarne une sorte de sagesse populaire comme le prouve l'extrait de cette pièce de Sophocle Œdipe Roi ( - 430) dans le deuxième stasimon au moment où, dans le déroulement de la pièce, le roi s'enfonce dans son aveuglement...



LE CHŒUR

 Antistrophe I

La démesure enfante le tyran. Quand la démesure, démesurément gonflée de chimères et d'imprudences est montée au plus haut, c'est pour plonger soudain, les jambes coupées, inutilisables dans un abîme fatal. Puisse au contraire la lutte bien menée pour le salut de la cité ne jamais sombrer, j'en implore Dieu.



Strophe II

L homme aux gestes et aux mots pleins d'orgueil qui va son chemin sans craindre la Justice, sans révérer les sanctuaires, celui-là puisse un sort cruel châtier l'orgueil qui le gonfle ! S'il ne recherche que profits mal acquis, en ne respectant point les lieux saints, en portant follement la main sur ce qu'il est interdit de toucher.



Antistrophe II

Qui en pareil cas prétendrait écarter de son cœur l'aiguillon de la colère divine? Si de telles pratiques sont désormais à l'honneur, pourquoi faut-il que je mène le chœur ? Non je n'irai plus révérer le nombril sacré du monde je n'irai plus au sanctuaire d'Abae ni à Olympie si l'harmonie ne règne pas entre tous les humains pour rejeter de tels actes.




Enfin Œdipe, quoique orgueilleux ... reste à plaindre... lui.... et dans sa démesure tragique il nous interroge sur ce que sont les limites du pouvoir. Son histoire et la pièce empruntent au mythe, pas à la réalité directement.... mais des ponts sont bien sûr toujours possibles entre les époques et les situations !

Nos tyrans du jour ont moins de grandeur et sont malheureusement bien réels, médiocres, le «  quorum-choeur » s'est endormi avant même d'être choisi pour la représentation en public ( les représentations se font parfois à huis clos ou à des horaires impossibles), car le chœur bat au rythme de la com', des facéties et des mensonges du coryphée... 



Notre dernier mot ce sera : haut les cœurs !!!


vendredi 26 juin 2015 4 commentaires

Convocation du conseil municipal du mardi 30 juin 2015


8 commentaires

Incroyable mais Vrai.....

Monsieur le maire convoque le conseil municipal le

mardi 30 juin 2015
à 14h00

Comme vous pourrez le lire sur la convocation qui sera publiée dans l'après-midi, il précise que le quorum n'étant pas atteint lors de la séance du 25 juin 2015, le prochain conseil se réunit quel que soit le nombre de personnes présentes. Alors autant choisir un horaire en journée où beaucoup d'entre nous travaillent pour se retrouver entre soi....

Ceci est inacceptable...
La démocratie est en danger...

jeudi 25 juin 2015 4 commentaires

Le conseil municipal du jeudi 25 juin 2015

La séance n'a pas pu être ouverte car le nombre de conseillers de la majorité ne permettait pas d'atteindre le quorum. En effet, il doit y avoir 10 personnes autour de la table et ils n'étaient que 7.

Nous (les membres du groupe "Osons pour Mougon") tenons à rappeler l'importance de l'engagement d'un élu en refusant de siéger tant que le quorum n'est pas atteint par l'équipe de la majorité.

L’absentéisme des élus de la majorité a déjà fait l'objet de remarques de la part du groupe "Osons pour Mougon".
Extrait du conseil municipal du jeudi 18 décembre : M Barbareau fait remarquer l’absence répétée de conseillers de l’équipe majoritaire. Sans les 4 élus d’ « Osons pour Mougon », le conseil ne pourrait pas se réunir, le quorum n’étant alors pas atteint. Si nous n’étions pas restés, vous ne pouviez pas siéger.
Réponse : il ne fallait pas rester.

C'est ainsi que pour le conseil municipal du 21 avril 2015, nous sommes entrés à 20h55 et celui du 3 juin 2015, nous sommes entrés à 20h44. A chaque fois, nous avons attendu que les conseillers de la majorité soient en nombre suffisant.

Ce soir à 21 heures, le maire a dû se rendre à l'évidence ; le conseil municipal ne pourra pas se tenir.

Il est vraisemblablement reporté au mardi 30 juin 2015.
Information à confirmer
mercredi 24 juin 2015 5 commentaires

Compte rendu du conseil municipal du 03 juin 2015 - Episode 7




-          Point sur l’action et les décisions communautaires :

Le site de la CCCB (non-actualisé depuis octobre 2014 pour cause de renouvellement de personnels et formations) est maintenant actualisé.

Concernant la réforme territoriale, M le maire nous informe que le président et 2 vice-présidents ont visité les différentes communautés limitrophes pour échanger : A suivre…

Concernant le projet de construction de la nouvelle structure multi-accueil sur Mougon, la CCCB est en attente de la délibération de Mougon autorisant le lancement de l’étude de faisabilité par un cabinet d’architecte. La délibération n’a pas été envoyée, le maire en est surpris.

M Le maire nous informe que concernant le CLSH, le comité de pilotage a étudié le cahier des charges de l’étude complémentaire. M le maire y était et déclare que la maire de Ste Blandine a fait une autre proposition plus rapide et moins chère que de lancer cette étude. M le maire l’a encouragé à présenter cette proposition à la CCCB.

L’association Belle et Lambon a proposé la mise en place d’une tarification selon le quotient familial (QF). La CCCB et Mme Cousin (vice-présidente à l’action sociale) semblent réticents .
M le maire a fait la proposition que les membres de l’association viennent présenter ce projet lors d’une prochaine réunion de la CCCB.

M Autret : On ne va pas attendre que le cabinet retenu pour l’étude complémentaire donne un avis sur cette tarification au quotient familial. Le projet est prêt, la précédente étude enfance-jeunesse disait qu’il fallait passer au QF, la CAF pousse dans ce sens aussi. Il n’y a que la CCCB qui ne semble pas d’accord.

M Compère : Qui a dit que la CCCB n’était pas d’accord ?

M Autret : L’association Belle et Lambon a proposé le projet. Mme Cousin et M Germain ont demandé à la présidente de demander une étude à la CAF. Elle a communiqué avec la CAF qui a répondu que le projet devait être mis en place le plus rapidement possible.

M le maire : Ce n’est pas ce qu’a dit la CCCB. Si l’association met le QF en place pour l’été, cela coûtera 4 500€. La CCCB a dit que peut-être, elle ne financera pas ce surplus.
M le maire a dit à la présidente, que l’association a externalisé les payes (depuis début 2015, une entreprise extérieure réalise les feuilles de paye), qu’il faut revenir sur cette décision (sous-entendu les bénévoles doivent à nouveau réaliser cette tâche) pour faire des économies !!!

M Autret : La précédente présidente, Mme Pintault, faisait ce travail car c’est son métier et elle y passait ses dimanches après-midi. C’est plus facile à dire qu’à faire.

M Compère : Personnellement, je suis intervenu au cours de la 1ère assemblée générale du CLSH où la question du renouvellement de l’ensemble du bureau de l’association a été posée. J’ai insisté auprès des personnes qui étaient présentes, j’ai repris la parole pour inciter à titre de continuité de l’association.

M Autret : C’est merveilleux, M Compère, c’est vous qui avez sauvé l’association!!

M Compère : Si je n’étais pas intervenu à ce moment là, il n’y aurait pas eu de nouvelle assemblée générale car la communauté, aussi bien Sylvie Cousin que Patrice Germain ont déclaré que de toute façon s’il n’y a personne qui reprend, la CCCB sera là pour reprendre.
Ca a été textuellement dit, tous ceux qui étaient présents, on entendu et vous y étiez.

M Autret : C’est caricatural, ce que vous dites.

M Compère : (De plus en plus véhément) Non, c’est la vérité !

M Autret : La seule vérité, c’est qu’il y a 2 personnes qui se sont mobilisées pour sauver l’association et que l’on peut remercier et leur tirer notre chapeau. C’est Nathalie Gilbert et Corinne Lafond, ce n’est pas vous. Voilà qui sont les personnes qui sont à l’origine de la sauvegarde de l’association Belle et Lambon.

Mme Lahmiti : Où en est le projet d’installation de modulaires pour le CLSH qui semble prévu à Celles sur Belle ? Il y a un risque de voir le CLSH s’installer à Celles.

M Compère : Je vous rappelle qu’il y avait des propositions d’Algeco qui avaient été faites sur Mougon et que le projet n’a jamais abouti .

M Autret : Cette proposition de la CCCB était d’installer des modulaires sur le parking de l’école primaire. Ce n’était pas envisageable pour des raisons de sécurité. Venez à la sortie de l’école pour vous en rendre compte.
Nous avions proposé d’autres lieux (stade d’entrainement ou derrière l’école maternelle) qui n’ont pas été acceptés car il fallait un terrain déjà « prêt à l’emploi ».

M le maire : C’est du passé.

M Autret : En effet, mais j’aimerais que l’on arrête de ressasser toujours les mêmes choses en omettant d’apporter toutes les informations.

M le maire : Nous avons dit à la présidente de l’association, car à la CCCB personne n’en parle, que s’il y avait une proposition d’installation d’Algeco, on avait un terrain disponible de 1200 à 1700m² environ entre la maison nouvellement achetée route de Triou et la maternelle.

M Barbareau : quelle est la distance par rapport à la ferme ?

M le maire : Je n’ai pas calculé, mais il me semble que c’est à plus de 50m.

M Autret : Je ne pense pas, car dans la grange, juste derrière, il y a des veaux.

M le maire : Ah bon …

Mme Thibault : Et sur le terrain prévu pour la structure multi-accueil, derrière la maternelle ?

M le maire : Il faut espérer que la SMA, ça va commencer rapidement.

M Barbareau : M Germain et la CCCB avaient refusé d’installer des modulaires sur cet emplacement.

Mme Thibault : M Germain n’est que secrétaire général, ce n’est pas lui qui décide.
De la même façon, il faudra se positionner : la CCCB a la compétence enfance – jeunesse, ce n’est pas à nous de gérer le personnel et d’avoir à charge la compétence. Qu’ils prennent tout. Que l’on mette les locaux à disposition, d’accord, mais pour le reste.

Dernières questions :

M Barbareau : On peut imaginer qu’avec le nouveau matériel informatique et l’imprimante, on revienne à une impression de la vie municipale en interne et que l’on ne demande pas à une entreprise de réaliser l’impression.

M Compère : qu’est-ce qui vous gène ?

M Barbareau : Le coût.

M Compère : Le coût ? ça a déjà été abordé en commission.

M Barbareau : Je vous ai répondu en commission et au moment du budget.

M Compère : Il faudrait que vous appreniez à écouter.
J’ai fait une étude sommaire, certes, à l’époque c’est Mme Sicart qui l’avait faite. Elle est arrivée à la conclusion que si on prenait le coût d’impression, plus le coût des salariés qui sont mobilisés pour le tirage, on arrivait pratiquement au coût d’un 4 pages en imprimerie, avec une qualité qui est quand même moindre ici qu’en imprimerie.

M Barbareau : C’est faux pour plusieurs raisons…

M Compère : C’est faux, à ce moment là, Mme Sicart m’a menti.

M Compère considère souvent voire toujours détenir la vérité et il est tout aussi facilement enclin à considérer les autres comme des menteurs. Rappelons-nous que M Compère a nié avoir insulté M Barbareau. Il a fini par s'excuser lors du conseil municipal du 28 janvier à huis clos. On peut donc se demander qui est le menteur !!!!


De plus, traiter une employée de menteuse montre bien la considération de M Compère pour les agents de la commune. Cette parole est d'autant plus déplacée qu'elle s'adresse à la secrétaire générale en accident de service suite à une rencontre avec lui.


M Barbareau : C’est faux pour la simple et bonne raison que cette imprimante a servi à imprimer des photographies qui nous ont été adressées par un photographe professionnel dont la qualité était remarquable à ses dires.
Donc si on arrive à imprimer des photos avec une qualité remarquable, je ne vois pas pourquoi on ne pourrait pas obtenir une qualité d’impression de la vie municipale tout aussi remarquable.
2ème point : dans votre calcul de coût, vous faites intervenir le coût des salariés, vous ne vous êtes jamais remis en question, en vous disant que votre tâche était d’imprimer ces documents. Vos indemnités vous servent à quoi, M Compère, à être présent pour réaliser ce type de travail, oui ou non ?

M Compère : Je vous signale que la rédaction, les photos et la mise en page, c’est moi qui le fait.

Mme Lahmiti : Combien a couté le dernier tirage en imprimerie de la vie municipale ?

M Compère : Entre 300 et 400€, de mémoire.

M Barbareau : On peut diviser ce coût en réalisant le tirage en interne et éviter ainsi les gaspillages.

M Compère : Vous pourrez venir vérifier la facture en mairie.

Mme Lahmiti : Je viendrai.

M le maire : En parlant de cela, on vient de se rendre compte sur le compte administratif (CA) que depuis avril 2014, on ne payait plus de facture gaz de France.

Mme Le Bars : Vous ne l’avez pas vu en suivant les comptes ?

M le maire : On vient de s’en apercevoir, justement en suivant les comptes.

M Compère : Vous les avez demandés les comptes administratifs 2014, vous ne l’avez pas vu, vous.

Mme Lahmiti : Non, car le CA que j’ai reçu, n’est pas assez détaillé pour se rendre compte de ce genre de chose. La prochaine fois, on demandera le CA détaillé !!!

Dernière question :
M Barbareau : Il y a des personnes qui croisent Mme Joulain, elle leur dit qu’elle est démissionnaire. Qu’en est-il ?

M le maire : Elle est démissionnaire, oui. Et il y en a d’autres, mais pour le moment il n’y a pas de démission de déposée.

M Autret : Ce n’est pas ce qu’elle dit à ses proches. Elle dit qu’elle a démissionné.

M le maire : Voilà, merci.

M Autret : Donc, on n’a pas de réponse.

M le maire : Vous le saurez la prochaine fois. Tout comme en principe, M Duchemin viendra puisqu’il a accepté. Mais en semaine pour lui c’est compliqué. Il va falloir voir pour mettre des conseils municipaux soit le lundi soit le vendredi.

Mme Thibault : De toute façon, il faut tourner, pas toujours le même jour.

M le maire : De toute façon, il faut aussi accepter qu’il y ait des personnes absentes.

Fin du conseil municipal.

lundi 22 juin 2015 3 commentaires
Personne n'en parle plus 
Mais les épreuves du BAC continuent

Avec les mathématiques
Avec la physique...

Après le français
Il y a l'anglais...

Avant le BAC
Il y a le Brevet...

A tous nos jeunes qui seront nos adultes de demain,
nous  souhaitons bon courage.
dimanche 21 juin 2015 7 commentaires

Compte rendu du conseil municipal du mercredi 3 juin 2015 - Episode n°6

Questions diverses :



-          Etat d’avancement de l’achat du terrain route de Triou :



M le maire déclare que la maison a été achetée. Il attend les résultats des demandes de subventions réalisées auprès du Conseil Général pour lancer le projet de sécurisation de la route de Triou.

Il propose que le conseil municipal visite la maison car des propositions ont été faites par la commission revitalisation du centre bourg.



-          Résultat du matériel servant à traiter les espaces publics à l’eau chaude.



En l’absence de M Prévost, M le maire donne la parole à M Brelay.

La démonstration a eu lieu en face de la mairie : passage de la vapeur puis pose du produit à base d’amidon. Le traitement attaque seulement la feuille et non la racine, donc les mauvaises herbes repoussent plus vite qu’avec un produit chimique qui va attaquer la racine. Bref, le temps d’application est long, la machine n’est pas facilement utilisable : un moteur fioul et deux groupes électrogènes électriques sont nécessaires et le travail mobilise 3 personnes. La vitesse moyenne de travail est de 150m à l’heure.



M Laparlière : « J’ai vu faire sur Celles, c’est en effet long et consommateur de fioul.

La seule solution miracle, écologique et 100% efficace est d’y aller à la binette. Donc trouvez des gens et payez-les pour faire le boulot ».



Mme Girault : En plus, ce matériel est horriblement cher.



M Brelay : Ça coute 38 000€, sans la remorque.



Mme Lahmiti : Il faut réfléchir à l’utilisation de plantes couvre-sol, dans certains espaces, c’est possible. La démarche avait été débutée. Elle permet d’associer l’embellissement des rues et la propreté.



M Brelay : Je suis d’accord. J’expliquais juste l’utilisation de la machine. Cela fait 15 jours ou 3 semaines que le traitement a eu lieu et c’est déjà en train de repousser. C’est efficace, ça fonctionne mais ça repousse très vite derrière. Il y a un coût humain, un coût de pollution : il y a 0 pesticide dans le sol mais il y a pollution de l’air avec le moteur fioul, plus le tracteur.



M Barbareau : Donc l’essai n’est pas concluant …



M Brelay : Exactement.



M Barbareau : Il faut donc trouver d’autres solutions. Il faudra essayer le thermique.



M Brelay : Avec le gaz ? Cela ne détruit pas la racine mais on gagne du temps.



M le maire : Les agents ont l’équipement thermique nécessaire. Ils ont très vite arrêté à cause des camions de paille et les risques d’incendie.



M Barbareau : Il faudra associer plusieurs solutions : le désherbage manuel à la binette, le désherbage thermique, la tondeuse, le débroussailleur, le roto fil et davantage impliquer la population.



Conclusion : Les solutions sont connues, les matériels nécessaires déjà en possession de la commune et pourtant cette année encore, de nombreuses rues de Mougon ont été traitées chimiquement. Que manque-t-il ? Une véritable volonté des élus en charge ?



-          Bilan du changement de sens de circulation dans le bourg :



M Brelay affirme que les enseignants sont satisfaits, les groupes peuvent descendre au temple par la route de Fressines en sécurité. Carapatte a changé son parcours, ils n’empruntent plus la route de Montaillon mais la route de Fressines puis la rue de la Vierge.



M me Lahmiti : Il était question d’une bande de peinture au sol avec des plots qui manquent route de Fressines pour délimiter l’espace piéton.

Il faudrait aussi placer des panneaux « sens de circulation modifié », notamment en haut de la route de Montaillon car les Mougonais avaient des habitudes et certains se trompent et les autres usagers ne sont pas suffisamment prévenus.



M Brelay : Il y a en effet un temps d’adaptation nécessaire.



Mme Thibault : On pourrait mettre un panneau « attention carrefour modifié ».



M Didier : Il y en a un en venant de la boulangerie.



M Barbareau : Il est un peu loin et pas très visible et il y a encore des panneaux indicateurs : « gites et sapeurs pompiers » qui peuvent inciter les gens à descendre la route de Montaillon. Il faut les déposer.



M le maire : On va les enlever. On va conclure là, de toute façon les gendarmes veillent.



M Laparlière : Je ne passerai pas avec la moissonneuse-batteuse en venant de Vouillé pour tourner route de Fressines et descendre la rue de la Vierge.



M le maire : Effectivement, pour les agriculteurs, cela ne tourne pas avec leurs grandes remorques. Il a été prévu ce jour là, on s’organise, on arrête la circulation. Ça représente 3 remorques en juin et 3 en septembre, alors… et le conseil général n’a pas voulu de panneaux « sens interdit sauf engins agricoles ».



-          Point sur l’action sociale de la commune de Mougon.



Mme Clert : Deux dossiers sont en cours pour deux familles en grandes difficultés.



Mme Lahmiti : Quels sont les projets à l’avenir ?



Mme Clert : Il n’y a pas de projet.



M le maire : Tu veux parler du CCAS ? Tu veux parler de quoi ?



Mme Lahmiti : Oui, l’action sociale de la commune.



Mme Clerct: Tu le sais, tu en fais partie du CCAS.



Mme Lahmiti : Oui, justement…



Mme Clert : Il y aura une réunion à la fin du mois de juin. 

Depuis, une réunion est programmée le vendredi 26 juin à 19h30.
En même temps que la fête des écoles.
Cherchez l'erreur !
 


vendredi 19 juin 2015 5 commentaires

Le prochain conseil est prévu


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Compte-rendu du conseil municipal du 03 juin 2015 - Episode 5




11ème point : L’avenir de l’ancienne propriété Roullet au 18 av Etienne Girard.



M le maire propose de discuter sur l’avenir de cette propriété dont il ne sait pas, à ce jour, ce que l’on en fait : est-ce qu’on la revend ? Est-ce qu’on la garde ? Est-ce qu’il y a un projet derrière ? Est-ce que … Vous avez acheté la maison, vous aviez un projet derrière.



M Autret : Oui, il y a déjà un parc à aménager et à ouvrir au public.



M Barbareau : Il faut mettre en place un groupe de travail qui pourra faire des propositions sérieuses. On ne pourra pas en quelques minutes définir un projet.



M Laparlière : C’est surtout une question financière.



Mme Lahmiti : Cela entre dans le cadre du projet revitalisation du centre bourg.

M Compère : Peut-être, oui.

M Autret : C’est en tout cas, la démarche que vous avez proposée. C’est le cabinet d’études retenu qui devra donner des idées.



M Compère : J’avais cru voir dans vos conseils municipaux antérieurs qu’il y avait un projet de mairie. En ce qui concerne l’aménagement du terrain, j’ai eu aussi des observations, je pourrais donner des noms. Il y a des gens qui se sont étonnés que l’on ait abattu des arbres.



M Autret : Est-ce que vous connaissiez l’état du terrain avant l’aménagement ?

M Compère : Personnellement non, mais la personne a vu des photos aériennes.



M Autret : Ce n’était pas un parc, c’était un bois avec des ronces, avec des arbres qui n’avaient pas la place pour s’étoffer. Il y avait 3 beaux arbres, deux ont été coupés, le 3ème avait été conservé, vous l’avez abattu pour des raisons de sécurité. On ne peut pas parler d’un parc arboré comme vous le mentionnez dans le dossier revitalisation du centre-bourg.



M Compère : Ce n’est pas moi qui l’ai écrit.



M le maire : Il y a 20 ans, il y avait 7 arbres remarquables, mais le terrain n’a pas été entretenu.

M Autret : Il reste encore plusieurs arbres remarquables à l’arrière du terrain, derrière la maison.

M Barbareau : M Aimé qui a suivi le dossier et lui qui est très attaché à l’environnement, a été soucieux de sauvegarder tous les arbres qui pouvaient l’être.



M le maire : Parlons avenir. Qu’est-ce que l’on fait maintenant ?



M Barbareau : Il faut mettre en place un groupe de travail. Jean-Pierre Prévost l’a proposé depuis plus de 3 mois, cela n’a jamais été mis en place.



M Autret : Vu l’implantation du parc et de la maison en plein centre bourg, cette propriété doit rester communale.



M le maire : Il y a un problème d’accessibilité. Pour aménager l’étage, il faut un escalier extérieur et un ascenseur.



M Compère : Il y a l’option logement social.

Mais il faut attendre de voir quels sont les projets, pour avoir une vue d’ensemble, du devenir de l’aménagement du centre bourg.



M Autret : La maison est suffisamment grande pour accueillir plusieurs activités différentes : mairie, atelier de la Gasse au rez-de-chaussée, salles de réunion pour les associations…)



M Compère : Ce n’est pas adapté pour une mairie à cause de la proximité de la rue et tous les aménagements à refaire.



M Autret : Vous dites que la mairie actuelle est trop petite.



Mme Thibault : Oui, mais on peut agrandir la mairie existante en prenant sur la place, plutôt que de la transférer.



Mme Lahmiti : C’est un vieux projet qui ressort. Il y a déjà eu un projet d’agrandissement.

Mme Clerc : Oui, ça prenait pratiquement toute la place.

M le maire fait l’historique de l’évolution des locaux de la mairie.



Mme Thibault : Pour les associations, on va récupérer les locaux de la structure multi-accueil.

M Barbareau : Ce n’est pas pour tout de suite.

Mme Thibault : 2 ou 3 ans, de toute façon avant le centre de loisirs.



M Autret : Ce bâtiment déjà aménagé pour la petite enfance pourrait servir de MAM (?) pour accueillir les assistantes maternelles.

M le maire : J’ai déjà entendu cela.

M Autret : Cette idée a déjà été proposée dans ce conseil et vous aviez l’air d’être d’accord.



M le maire : On peut discuter de plein de choses. C’est Jean-Pierre qui a souhaité mettre ce sujet à l’ordre du jour, en plus il n’est pas là ce soir.

On va arrêter là…
jeudi 18 juin 2015 1 commentaires

Un mot ce soir, pour nos lycéens demain !

Boloss

Une fois n'est pas coutume, nous saluons aujourd'hui le petit Robert comme toujours, mais aussi le Larousse qui a fait entrer, lui aussi, dans son dictionnaire ce nouveau mot de genre masculin ( un boloss ) pour l' édition 2016.

Son étymologie reste encore imprécise car nos philologues ne sont pas assez nombreux à ce jour à s'être penchés sur le mot pour confronter leurs recherches. Néanmoins, selon le Robert le «  boloss » ou «  bolos » ou «  borros »  ( les trois morphologies peuvent désigner la même réalité … on préfère quand même le 1er mot , mais c'est un point de vue personnel) est apparu dans les banlieues du Val-de-Marne en 2003. Il fait initialement référence aux clients de dealers, mais il qualifie plus largement une personne présentée comme imbécile ou naïve. Aussi le sens peut il varier autour de ces deux idées qui convoquées l'une après l'autre constituent finalement tout un monde qui nous paraît plutôt familier où chacun se complète, trouve sa place autour d'un table, d'une réunion, d'une commémoration, ou de toutes autres situations publiques.

On emploie donc le mot boloss pour désigner :

1/ une personne qui n'a aucune répartie, qui se laisse faire, qui accepte tout, qui n'a pas d'opinion, qui a peur de tout... Le Larousse dit aussi «une personne naïve ou peu courageuse, ou complètement ridicule, voire stupide ». Exemples : « Tu nous as lâchés , t’es un boloss ! », «  il ne se prononce jamais, alors qu'il s'est engagé , c'est un boloss ».
Le mot serait peut être, selon les dictionnaires, l'opposition du mot bogoss ( « beau gosse ») par inversion de sonorités... Mais attention, l'opposition n'est pas systématique et ne se fonde pas que sur l'apparence qui est parfois trompeuse : ainsi le beau gosse peut aussi être un boloss.

2/ Par extension, on désigne aussi par ce terme une personne qui n'a pas les mêmes valeurs que soi ou qui est « lourd » dans celles qu'il défend . Exemples  : « Il traine avec des fashions, c'est un boloss ! », , «  il nous donne des conseils de boloss pour le bac : couche toi, pense à ta convoc, lave toi les dents, va faire pipi, tais toi, écoute, relis le sujet, respire... »
Ce dernier exemple nous amène à recommander au lycéen, dès demain soir, après ses épreuves ( car les conseils de dernière minute donnés quand les épreuves ont déjà commencé ne  sont jamais utiles, ils sont anxiogènes et même carrément... boloss) de prendre ce bouquin  pour l'été qui leur rappellera, peut être, de bons souvenirs de leur première : Les Boloss des Belles Lettres de Quentin Leclerc et Michel Pimpant ( 2014) dont nous vous livrons un petit extrait en guise de mise en bouche ( Balzac Le père Goriot) surtout pour les adultes s'ils  ne connaissent pas :
« Au début le père balzac je sais pas ce qu'il a méfu mais clairement il plane total vu qu'il te fait la playlist de tout ce qu'il téma genre oh une chaise oh un ours oh une veste zippée kappa et tout l'toutim mdr mais là il fait la description la plus longue du monde que quand tu lis tu te dis walla il veut ma mort le FDP c'est koi son délire il va nous dire tout ce qu'il voit baltringue ho j'ai des yeux moi aussi enculé alors mon conseil c'est que faut pas rester sur cette impression car toi même tu sais que la littérature est une gow rebelle une gazelle farouche genre elle te regarde par dessous mais elle veut pas que ses bitches elles savent qu'elle te kiffe on parle sentiment mais c'est normal putain c'est de l'art fdp. »

mercredi 17 juin 2015 5 commentaires

Compte rendu du conseil municipal du mercredi 3 juin 2015 - Episode n° 4



7ème point : Peinture de la façade maternelle.



3 devis sont proposés :



Entreprise Dupeux :                           4 200€ TTC

Entreprise Acrycolor :                        2957.56€ TTC

Entreprise ?  :                                     3792€ TTC



Prestation : nettoyage, anti mousse, bouchage des trous, peinture : des pavés de verre situés au niveau de l’entrée principale sous le préau jusqu’à la classe des PS qui jouxte la maison donnant sur l’avenue Y Roullet.



M le maire propose de retenir l’entreprise Acrycolor.

Vote pour à l’unanimité.



8ème point : Enrouleur d’arrosage du stade.



M le maire propose à M Laparlière de présenter le dossier au débotté, qu’il lui remet dans le même temps.



3 devis sont présentés :

Ouvrard Irrigation :                4758€ TTC

Billaud-Segeba :                     5392.25€ TTC

Allin-Agri :                             4302€ TTC



L’enrouleur sera branché sur une bouche incendie située côté école et permettra de payer l’eau sans la taxe d’assainissement  (2€ de moins au m3)



M Barbareau demande si un passage permettra d’arroser l’ensemble du terrain ?

Réponse : ?

M Autret demande où le matériel sera stocké en période d’arrosage et si le matériel est doté d’une sécurité ? Car ce nouveau matériel peut exercer des convoitises.



M le maire répond qu’il ne sait pas mais lorsqu’ils avaient acheté le matériel déjà existant, des personnes étaient venues visiter ce matériel et pourtant ils avaient choisi un modèle bas de gamme.



M Laparlière précise que là aussi il s’agit d’un matériel bas de gamme.



M le maire propose de choisir le devis le moins cher : Allin-Agri pour 4302€ TTC.

M Laparlière confirme.

Vote à l’unanimité.

 



9ème point : Informations diverses : Achat de terrains par des particuliers.



Le 1er terrain : M Delavent habitant au 9 bis rue des Ecoles propose d’acheter un bout de terrain appartenant à la commune situé au fond de son jardin afin de construire un mur de clôture.

Ce terrain fait partie du terrain de la maison « Roullet » et est enclavé , il mesure environ 300 – 305m². Les domaines sont en cours de consultation.

M le maire propose de fixer le prix à 25€ le m².



M Barbareau et Autret précisent que ce terrain permettrait à l’avenir de pouvoir réaliser un cheminement vers la rue de la Vielle Cour et/ou de la structure multi-accueil actuelle, si les terrains privés venaient à se vendre.



M le maire affirme que les propriétaires ne seraient pas vendeurs à la commune et propose de vendre le terrain à 25€ le m².



M Barbareau demande si en cas de refus de l’acheteur à ce prix, la commune négocierait le prix.

M le maire répond : non.

Vote : 1 abstention, les autres votent pour.



Le 2ème terrain : M Guillorit propose d’acheter une partie d’un pré communal situé au bout du chemin de Fond Clair afin de faciliter l’accessibilité à sa propriété. Le terrain fait environ 2500m² et le prix proposé est de 1€ le m². M Guillorit prendrait à sa charge les frais de bornage.

M Autret demande à M Laparlière quel est le prix d’une terre agricole ?

M Laparlière répond environ 40 centimes le m².



M Autret dit que ce n’est pas cher et demande si M Guillorit acceptera à 1€ le m².

M le maire répond qu’il est d’accord.

Vote à l’unanimité.



3ème terrain pour information : M Desbordes habitant rue du Petit Bois souhaiterait acheter le sentier du Chêne Gaurichon situé derrière chez lui qui est peu utilisé par les promeneurs et peu praticable car envahi par les graminées. Ce terrain n’est pas vendable, il n’est pas cadastré, il fait partie du domaine communal, il est inaliénable. Si vraiment on voulait le vendre, la procédure c’est une enquête publique.



10ème point : Résultat de la commission d’appel d’offres « informatique des écoles ».



M le maire déclare que la commission d’appel d’offres  a retenu l’entreprise Manutan pour un montant de 59 866.23€. L’entreprise AIPC est positionnée en 2ème position avec une offre de 73 279.20€ TTC et Tedelec classée 3ème avec une offre de 76 953.60€ TTC.

Il poursuit en disant que cela ne s’est pas passé sans problème car au départ l’entreprise Manutan avait donné des informations un peu douteuses. Il a fallu un certains nombres d’informations complémentaires pour qu’ils reviennent dans le cahier des charges.



M Laparlière constate que c’est une dépense importante.

M le maire rappelle que 7 classes sont équipées avec en plus une classe mobile.

M Barbareau précise qu’il y a 8 vidéoprojecteurs, 8 tableaux interactifs, 27 ordinateurs minitours qui heureusement ne coutent pas 1 800€ l’unité mais 765€, 12 micro-ordinateurs, les logiciels et la maintenance. Mais qu’il reste une question en suspend par rapport à la proposition de Manutan, c’est le nombre de micro-ordinateurs pouvant être connectés à la classe mobile. 



M Compère dit c’est une dépense importante, c’est plus cher qu’un simple tableau noir et blanc…



M le maire rappelle qu’une demande de subvention a été faite mais qu’il n’est pas du tout content de la région, car on lui a conseillé de faire une demande de subvention sur le CRDD qui a été refusée à la commission de mai dont le président était le maire de Melle.

D’autres demandes de subventions ont été déposées sur le FRIL à la région de 20 000€ et sur le FEDER à l’Europe de 20 000€.

Mme Lahmiti dit qu’elle n’est pas sûre que les 2 subventions soient compatibles.

 
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