Saisie image sur le mur de la mairie réalisé le 27 octobre 2017 juste après la publication de notre dernier article en commentaire.
Un passage sur le mur aujourd'hui rend compte de la tristesse réalité concernant la libre expression sur notre commune.
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9 commentaires:
La Majorité elle efface les traces..... mais pas toutes..... la loi du silence à ses limites et sa bougonne fort à mougon !!!!
Pour une municipalité qui dit jouer la transparence, nous avons une bonne illustration. Merci à vous encore d'avoir pu saisir cet exemple flagrant. Chacun a bien de son côté un petit exemple personnel qui est aussi ridicule que celui que vous montrez. Comme chacun sait le ridicule ne tue point.
Juste énorme mais pas surprenant ! Faut pas choquer et surtout pas négativer le positif passif !
Allez, vive l'expression libre !
La transparence à mougon !!!??? C est une blague ! Ils me font pitié ces élus qui trempent dans des combines !! La rumeur évidemment à ses limites mais elle va bon train et il y à des vérités dans ce qui se dit à mougon ! C est d autant plus drôle qu ce sont sur de fausses informations que cette équipe à ete élue....enfin drôle... non... ils mélangent tout : intérêt public, privé ...
Aucune gloire en effet à en tirer pour le maire et ses amis ; donc on supprime. Pas vu pas pris, enfin presque !!!!! Et bien si , monsieur le maire justifié aux habitants pourquoi vous supprimez (ou faites supprimer car fb c'est peut être pas votre tasse de thé) les commentaires.
De mieux en mieux sur la page FB de la commune de Mougon on ne peut plus aimer les commentaires !
Une nouvelle preuve de la liberté d'expression !
Bonjour, c'est moi qui gère la page Facebook de la Mairie de Mougon, voici donc ma réponse à toutes ces accusations.
La suppression de ces messages est une conséquence du fait que Mme Nathalie AUTRET ainsi que la page Osons pour Mougon ont été bannis de la page Mairie de Mougon. Pour quelle raison me direz-vous ? C'est très simple : j'ai moi même été bloqué par page Osons pour Mougon, depuis longtemps et sans raison car je n'ai jamais écrit de commentaires ou envoyé de message à cette page. Je ne peux même pas voir se qui s'écrit sur cette page !
Alors qu'on ne viennent pas me donner des leçons de transparence, de libre expression, de loi du silence !
De plus, il faut préciser que le Facebook de Osons pour Mougon n'est pas une "page" au sens strict du terme mais un "profil" auquel il faut envoyer une demande d'ami pour pouvoir y accéder ; au contraire de Mairie de Mougon qui est une page ouverte à tous, sans obligation de s'abonner ou de montrer patte blanche...
Pour finir, la page de Mairie de Mougon n'est pas un lieu de polémique, l'objectif est d'informer la population et d'interagir avec elle ; elle ne doit pas être le théâtre de règlement de comptes.
Cordialement, Emilien DIDIER
Je vois le commentaire d'aujourd'hui à 18h26 :
Mme AUTRET, pourquoi écrivez vous en "anonyme", vous n'assumez votre message ? Êtes vous l'auteur de tous les messages anonymes ?
Non, elle n'est pas l'auteur de tous les messages anonymes, ce sont d'autres habitants de Mougon, inquiets de la situation actuelle, qui réagissent. Pour ma part, je ne connais pas Mme Autret mais je vis à Mougon et aujourd'hui, le seul lieu d'expression libre et sans peur de reproche se trouve sur ce site (pour info, je n'ai pas été obligé d'être ami avec eux (cf FB) car Osons pour Mougon a également un vrai site sur la toile comme la mairie).
Nous n'avons pas de réunion publique pour exposer les grands dossiers (sauf le centre bourg), échanger, bref : vivre notre rôle de citoyen lambda. Des petites réunions annuelles dans les villages étaient très bien. Cela permettait également à la municipalité de "prendre le pouls des tensions".
Mais je suis ravi de pouvoir échanger avec un élu municipal.
Pourquoi rester en anonyme me direz-vous ? Et bien, la crainte que la majorité et certains élus ciblent certaines personnes par leur opinion (les exemples sont malheureusement présents depuis 2014). Voilà où j'en suis rendu malheureusement pour pouvoir m'exprimer en toute quiétude. Force est de constater que mon excuse est totalement justifiée en vous lisant.
Dans l'attente de vous lire.
Un habitant parmi tant d'autres.
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